La Polynésie Française Tisse des Liens Stratégiques avec la CIBJO pour Rayonner sur le Marché Mondial de la Perle
Par Sandrine, mercredi 19 octobre 2011 à 16:42 :: Promotion
Le ministre des ressources marines, Temauri Foster, a rencontré M. Gaetano Cavalieri, président de la Confédération internationale de la bijouterie, de la joaillerie, de l’orfèvrerie, des diamants, pierres et perles (CIBJO), actuellement en visite privée en Polynésie.
La CIBJO, un acteur clé reconnu par l’ONU
Organisation d’origine européenne et reconnue par les Nations Unies, la CIBJO œuvre à l’harmonisation et à la coopération internationale dans le secteur du bijou. Elle influence les standards et le cours de l’or, du diamant, des pierres précieuses, et des perles, constituant ainsi un acteur incontournable du marché mondial.
Un partenariat stratégique pour la perle de Tahiti
La CIBJO, par son "livre bleu", définit les critères de classement et d’authentification des matières précieuses. La Polynésie française, par le biais du directeur de l'ex-GIE Perles de Tahiti, a d'ailleurs présidé la commission dédiée à la perle au sein de l'organisation. Cette expertise commune pourrait aujourd’hui donner un nouvel élan à la reconnaissance de la perle de culture de Tahiti.
Des propositions ambitieuses portées par la Maison de la Perle
Parmi les pistes évoquées : l’élaboration d’une classification officielle spécifique pour la perle de culture de Tahiti, l'organisation du congrès international annuel de la CIBJO à Tahiti en 2013, ainsi que le développement de formations professionnelles dédiées à la perle de culture pour les membres du réseau RSE de la CIBJO.
Perspectives d’avenir pour la filière perlicole
Fort du soutien et de l’expérience de la CIBJO, la Maison de la Perle ambitionne de consolider ses missions de valorisation et de contrôle qualité. L’objectif est clair : hisser la perle de Tahiti au rang de référence mondiale, en s’appuyant sur des standards reconnus internationalement et sur une promotion renforcée auprès des professionnels du bijou.
La rencontre marque ainsi un tournant stratégique pour le développement et la reconnaissance internationale de la perle noire, véritable trésor de la Polynésie française.
Organisation d’origine européenne et reconnue par les Nations Unies, la CIBJO œuvre à l’harmonisation et à la coopération internationale dans le secteur du bijou. Elle influence les standards et le cours de l’or, du diamant, des pierres précieuses, et des perles, constituant ainsi un acteur incontournable du marché mondial.
Un partenariat stratégique pour la perle de Tahiti
La CIBJO, par son "livre bleu", définit les critères de classement et d’authentification des matières précieuses. La Polynésie française, par le biais du directeur de l'ex-GIE Perles de Tahiti, a d'ailleurs présidé la commission dédiée à la perle au sein de l'organisation. Cette expertise commune pourrait aujourd’hui donner un nouvel élan à la reconnaissance de la perle de culture de Tahiti.
Des propositions ambitieuses portées par la Maison de la Perle
Parmi les pistes évoquées : l’élaboration d’une classification officielle spécifique pour la perle de culture de Tahiti, l'organisation du congrès international annuel de la CIBJO à Tahiti en 2013, ainsi que le développement de formations professionnelles dédiées à la perle de culture pour les membres du réseau RSE de la CIBJO.
Perspectives d’avenir pour la filière perlicole
Fort du soutien et de l’expérience de la CIBJO, la Maison de la Perle ambitionne de consolider ses missions de valorisation et de contrôle qualité. L’objectif est clair : hisser la perle de Tahiti au rang de référence mondiale, en s’appuyant sur des standards reconnus internationalement et sur une promotion renforcée auprès des professionnels du bijou.
La rencontre marque ainsi un tournant stratégique pour le développement et la reconnaissance internationale de la perle noire, véritable trésor de la Polynésie française.