L’échange avait pour objectif de dresser un état des lieux du secteur perlicole et d’ouvrir de nouvelles perspectives pour son développement.

Créée en mai 2014, la TPAFP s’est donnée pour mission de promouvoir les perles fines et de culture de Polynésie française, tout en conseillant les autorités sur l’organisation du marché. Forte de la participation de quatre GIE, d’un syndicat de producteurs et du syndicat des négociants en perles de culture de Tahiti, l’association se positionne comme un acteur incontournable de la filière.

Dans le cadre de la préparation d’un projet de loi du Pays sur les produits perliers, la TPAFP a exprimé son soutien à l’initiative gouvernementale visant à instaurer un contrôle renforcé de la production afin de garantir une gestion durable des ressources lagonaires. Elle plaide également pour une responsabilisation accrue des professionnels sur toute la chaîne de commercialisation.

Teva Rohfritsch a confirmé sa volonté de poursuivre les discussions avec l’ensemble des acteurs du secteur. Il entend finaliser, d’ici la fin de l’année, une nouvelle réglementation mieux adaptée aux enjeux actuels, accompagnée d’un plan d’actions ambitieux pour revitaliser un pilier essentiel de l’économie polynésienne.